UN MOIS DE DÉFIS CONTENTÉS : ET MAINTENANT ?

Ça y est, ça fait un mois !!!

Vous avez été nombreux à relever nos Défis Contentés et c’était vraiment une joie de lire vos avancées, votre tri, votre motivation pour cheminer vers une vie plus simple ! C’est hyper encourageant de savoir que nous sommes tout un groupe d’Apprentis Contentés !  Et votre motivation à réagir pour simplifier vos vies est belle, belle, belle !

Certains d’entre vous ont pris le défi en cours de route et sont encore en train d’y travailler : à tous ces courageux-là, on souhaite plein d’espace libéré dans l’agenda, dans les écrans, dans les cerveaux … et dans les cœurs !

Mais nous voilà donc à la fin de ce mois, et s’il y a bien une chose que j’ai quand même envie de vous dire, c’est que …

Si vos placards sont encore bien remplis … ça ne fait rien.

Si votre boîte mail déborde et que chaque jour le chiffre de non-lus augmente … ça ne fait rien.

Si la vaisselle n’est pas faite, que vos objectifs du jour se sont évanouis face à l’imprévu, que vous n’avez pas l’impression d’avoir réussi … ça ne fait rien.

Si vous avez dû courir d’une course à l’autre pour arriver à tout faire, si vous avez râlé, si vous avez été impatient, si vous vous êtes perdus dans le stress et que vous avez simplement essayé de garder la tête hors de l’eau … ça ne fait rien.

C’est sûr, nous sommes responsables de la façon dont nous investissons notre temps. Mais quelqu’un a dit « à chaque jour suffit sa peine », et demain est un autre jour !

Le plus important, ce n’est pas d’avoir des placards immaculés, un téléphone avec trois applications seulement, ou un agenda parfaitement organisé.

Le plus important c’est qui vous êtes. C’est comment vous êtes. C’est ce que vous faites de vous-même !

La Bible dit qu’à la fin des temps, Dieu nous jugera.

Et vous savez, il ne jugera pas les défis que vous aurez relevé. Il ne jugera pas non plus le nombre de pays visités, vos années de carrière, le total des objectifs atteints, ou le nombre d’expériences hors-norme que vous aurez accumulé.

Une partie de ce qui lui importe, surtout, c’est que quelqu’un puisse vous dire :

« j’avais faim, et vous m’avez donné à manger; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli; j’étais nu, et vous m’avez habillé; j’étais malade, et vous m’avez visité; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi ! »

Dieu n’accorde pas d’importance à nos listes, il accorde de l’importance à ce que nous faisons de notre temps, de notre être … et toutes les fois où nous faisons une de ces choses pour quelqu’un, même pour le plus petit des humains, le cœur de Dieu se réjouit. C’est comme si nous le faisions pour lui !

Alors, oui, je suis persuadée que le contentement rend nos vies plus belles, plus profondes, plus honnêtes, et oui, je crois que la simplicité est l’une des clefs du contentement. Mais si vous ne devez choisir qu’un seul Défi, pour le reste de votre vie par ici … Soyez !

Cherchons à être plus qu’à faire.

Allons plus loin que les listes, les objectifs, les contraintes, les imprévus. Ouvrons nos coeurs plus grand. Donnons plus de notre personne. Soyons !!!

 

 

Photo by Nathan Lemon on Unsplash

 

 

 

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ÉPISODES CONTENTÉS, S02E03 : LA BOITE À COUTURE

Ah, le dressing … cette autre partie de nos maisons que nous avons bien du mal à désencombrer !

Et pour cause : chaque ménage français dépense en moyenne 1230€ par an dans l’achat de vêtements. **

Il faut dire qu’avec la généralisation des enseignes de « fastfashion » et leurs prix défiant toute compétition, et vu la facilité avec laquelle nous pouvons commander sur Internet, il est difficile de résister. Malheureusement, cette fringale de consommation n’est pas pour nous servir – ni nous, ni notre planète.

D’abord parce que 60% d’entre nous possédons des vêtements que nous ne portons jamais (ouioui, on parle ici de ce t-shirt que vous gardez juste au cas où …), soit plusieurs dizaines d’euros qui auraient pu être économisées ! Ensuite, parce que  comme pour nos chaussures, nous avons un problème de deuxième vie : moins d’un quart de ces achats seront recyclés au final, soit environs 2,5kgs par an et par Français. Et pour finir, je vous laisse vous renseigner sur les conditions de fabrications des vêtements que nous achetons pour une bouchée de pain : il y a forcément un autre humain qui en pâtit quelque part.

Alors, dans notre cheminement de Contentés, nous pouvons agir à plusieurs niveaux : éviter d’acheter chez les grandes enseignes qui fabriquent notamment en Asie, préférer les vêtements d’occasion, se renseigner sur les boutiques qui produisent dans notre pays, ne chercher et n’acheter que ce dont nous avons vraiment besoin, mais aussi …

Faire réparer ou ajuster ces classiques dont nous ne voulons pas nous séparer ! 

Cette semaine, j’ai été rencontrer celle qui dirige de ses doigts de fée La Boîte à Couture du Vieux Château.

Je ne sais pas vous, mais moi j’y voyais déjà se pavaner les belles et les beaux …

Finalement, j’y ai croisé une robe de mariée, des tissus déchirés, des boutons pressions qui attendaient leur tour, des jeans par dizaine, des rubans colorés et un costume de grenouille … et ça en valait la peine !

Alors si vous avez une déchirure, un zip qui déraille, une retouche à faire … sachez qu’il existe des couturières si douées qu’elles peuvent presque tout arranger !

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La Boîte à Couture du Vieux Château est située au n°1, rue de l’Église à Hochfelden.

Vous y retrouverez Bernadette Nicora les Lundi, Mercredi et Vendredi de 14 à 19h, les Mardi et Jeudi de 9 à 12h et de 14 à 19h, et le Samedi matin de 9 à 12h. Vous pouvez la joindre au 03.69.35.25.94 !

 

** Des chiffres trouvés par ici sur Europe 1 et par là sur Le Point.

DÉFI CONTENTÉ N°4 : ON LÈVE LE PIED

Vous l’avez sans doute déjà lu quelque part : « le bonheur, c’est de continuer à désirer ce que l’on possède » (St Augustin).

Être capable de désirer ce qu’on possède déjà, ça veut dire arrêter notre course vers le prochain objectif, la prochaine échéance, le prochain projet, le prochain achat … et regarder notre vie en face. Ça veut dire ralentir, et se concentrer sur « maintenant ». Ça veut dire respirer, et faire un tour sur soi-même pour voir ce qui nous entoure avec des yeux neufs.

Mais voilà : ralentir, s’arrêter, respirer, regarder la vie en face, ça peut faire peur.

Ça fait peur parce qu’on a perdu l’habitude de le faire, parce qu’on a peur du temps que ça pourrait nous faire perdre, ou qu’on a pas très envie de voir les détails de notre quotidien, ça fait peur parce qu’au moment où on s’arrête, on se retrouve tout seul, et que peut-être il y a des points sombres de nous-même qu’on a moyennement envie de côtoyer.

Alors cette semaine, puisque nous avons déjà fait du tri dans nos écrans, du tri dans nos objets, et du tri dans notre temps prenons notre courage à deux mains, et exerçons-nous à ralentir ! Profitons de tout ce que nous avons quotidiennement et auquel nous nous sommes habitués … et con-ten-tons-nous !!

 

Un défi tout simple pour aujourd’hui : à chaque fois que vous aurez envie de vous plaindre, ou que la colère pointera le bout de son nez, arrêtez-vous et trouvez une chose pour laquelle vous êtes reconnaissants ! Une chose qui malgré tout va bien, une qualité chez cette personne qui vous donne envie de vous arracher les cheveux, une conséquence bénéfique dans une situation qui semble désastreuse. Les plus motivés d’entre vous peuvent même noter à chaque fois ce qu’ils auront trouvé, relire cette liste de gratitude samedi ou dimanche, et même nous l’envoyer pour partager ces cadeaux avec nous !!

Un défi qui prend du temps : l’une des choses les plus précieuses que nous possédons tous, mais que nous oublions souvent d’apprécier, ce sont tous les êtres chers qui composent notre entourage. C’est facile, de s’habituer à ce qu’ils soient là, à ce qu’ils fassent partie de nos vies. Ce sont des personnes qui nous ont écouté, qui ont ri et pleuré avec nous, qui nous ont rassuré ou secoué, qui nous ont rendu service sans compter … Cette semaine, prenez le temps d’écrire à au moins une de ces personnes. Une lettre pour lui rappeler que vous n’oubliez pas tout ce qu’elle a fait et lui rappeler que vous êtes reconnaissants de la compter parmi vos proches !

Un défi pour la semaine : sortez faire une balade. Seul-e avec vous-même, sans téléphone, sans appareil photo, sans musique dans les oreilles. Juste vous, et rien que vous ! Laissez-vos pensées vagabonder, prenez peut-être le temps de réfléchir à un problème ou une situation que vous n’arrivez pas à résoudre, de prier, trouvez les mots qui décrivent vos sentiments du moment… et dites-moi comment vous en êtes ressortis !!

Trois défis, trois niveaux différents d’implication, et 6 jours pour en mettre au moins un en place ! En route, et n’hésitez pas à nous partager vos petites difficultés et vos grandes victoires !

 

Et si nos Défis vous sont passés sous le nez, pas de panique ! Ils sont toujours disponibles par ici :

Défi Contenté n°1 : Moins d’écrans

Défi Contenté n°2 : Moins d’objets

Défi Contenté n°3 : Plus de temps

 

 

 

Photo by Tim Gouw on Unsplash

COMMENT VA LE MONDE ?

C’est le titre du dernier numéro de Sciences Humaines : « ce qui progresse, ce qui régresse, ce qui change »*.  Les dossiers font le tour des grands sujets : démocratie, richesse, changement climatique, violence, santé, emploi … Tout est passé sous le crible, et c’est très intéressant !

Pour ce Vendredi, je voulais simplement vous partager un petit extrait de l’article écrit par Jean-François Dortier, dont le sous-titre est le suivant :

« Comment perdre espoir … et le retrouver en six étapes.

Avec en prime quelques recettes pour changer le monde. »*

L’étape 4 est intitulée « Les pathologies de l’abondance », et vous vous en douterez, ça a allumé toutes les petites lumières d’alarmes du contentement dans ma tête : s’il y a pathologie de l’abondance, c’est qu’il y a médecine du contentement quelque part … !

Parmi les pathologies de l’abondance, l’auteur cite :

  • Le stress généralisé : « les enfants savent qu’ils sont engagés dans une éprouvante course d’obstacles pour réussir leurs études. Suit une vie de travail marqué par une course permanente à la performance pour que la machine économique tourne à plein régime, il faut maintenir un haut niveau d’exigence qui fait peser sur les salariés et les indépendants une pression considérable. Avec pour conséquence, la montée des risques psychosociaux, l’épidémie de burnout et la fatigue généralisée.», « les uns et les autres s’épuisent à vouloir réussir leur vie. »
  • L’allongement de l’espérance de vieeh oui, elle n’a pas qu’un bon côté … – qui se répercute sur les coûts et génère des dépenses hyper importantes pour les générations suivantes.
  • Les familles qui se fragilisent « en raison de la banalisation des ruptures : elles sont cruelles sur le plan psychologiques et économique » (Pour le point économique, il explique que les ruptures entraînent une perte de position sociale qui touche le plus souvent les femmes.)
  • L’endettement des ménages, « qui n’a jamais été aussi élevé, en raison du coût de l’accession à la propriété, des études des enfants et de la surconsommation générale. »

Je trouve intéressant de parler de pathologies de l’abondance : nous n’avons jamais autant consommé, jamais été aussi en bonne santé, aussi « libres », nous n’avons jamais vécu aussi vieux … Et pourtant, ce sont ces différents critères que l’on attend des pays développés qui font aujourd’hui notre malheur.

« Humainement parlant, cela coûte cher d’être riche. »*

« La croissance a tout prix n’est pas le signe du bien-être individuel et du bien commun.»*

Mais pas question de se décourager avec ce constat assez sombre !  

Comme l’auteur l’explique dans les 2 étapes suivantes, le progrès global de nos sociétés est encourageant : malgré ce qu’essaient de nous faire croire la plupart de nos médias hyper-anxiogènes, le monde va bien mieux qu’il y a quelques siècles !

Cet article montre aussi que nous ne sommes pas les seuls à nous questionner et qu’un peu partout, des individus réfléchissent et étudient le fait que l’abondance ne fait pas le bonheur ! Et … nous avons toujours le choix ! De ne choisir ni la richesse, ni la pauvreté, mais plutôt de trouver l’équilibre et d’apprendre encore et toujours à nous Contenter !

Voici ce que Paul écrivait dans sa première lettre au jeune Timothée : « la piété [= l’attachement à Dieu] est pourtant une grande source de profit quand on se contente de ce que l’on a. En effet, nous n’avons rien apporté dans le monde et il est évident que nous ne pouvons rien en emporter. Si donc nous avons de la nourriture et des vêtements, cela nous suffira. Quant à ceux qui veulent s’enrichir, ils tombent dans la tentation, dans un piège et dans une foule de désirs stupides et nuisibles qui plongent les hommes dans la ruine et provoquent leur perte. L’amour de l’argent est en effet à la racine de tous les maux. En s’y livrant, certains se sont égarés loin de la foi et se sont infligé eux-mêmes bien des tourments. Quant à toi, homme de Dieu, fuis ces choses et recherche la justice, la piété, la foi, l’amour, la persévérance, la douceur. » 

Beau programme, non ?! On vous souhaite une bien belle recherche de toutes ces choses dans le week-end à venir !

*Sciences Humaines, spécial n°300 – Comment va le monde ? – « Le progrès, une idée neuve pour le 21è siècle » p.16 par Jean-François Dortier.

DÉFI CONTENTÉ N°3 : PLUS DE TEMPS

« L’importance que nous accordons aux choses est proportionnelle au laps de temps que nous sommes prêtes à leur consacrer. Plus vous passez du temps à quelque chose, plus vous révélez l’importance et la valeur qu’elle a pour vous. Si vous souhaitez connaître les priorités de quelqu’un, regardez ce qu’il fait de son temps . »

R. Warren – Une vie, une passion, une destinée.

 

Le temps est la ressource la plus précieuse dont nous disposons. Une fois que les minutes sont passées, elles ne reviendront plus jamais ! Notre temps est limité … Et nous ne pouvons rien faire pour en gagner plus. Nous savons que notre vie sur Terre a un début … et une finmême si tout autour de nous tend à nous le faire oublier. La façon dont nous choisissons d’occuper notre temps est donc toujours un investissement !

Mais investissons-nous au bon endroit ?

Si vous êtes comme nous, l’agenda se remplit jour après jour, pour des mois et des mois. La plupart du temps nous courrons d’une activité à l’autre, d’un engagement à l’autre, en oubliant que lorsque nous donnons notre temps, c’est une partie de notre vie que nous donnons !

Alors, cette semaine, reprenons le contrôle sur notre temps !

 Nous avons déjà commencé à le faire, peut-être sans nous en rendre compte, en minimisant le temps passé sur les écrans et en désencombrant notre espace de vie. Voici la prochaine étape que nous vous proposons :

Un défi tout simple pour aujourd’hui : donnez ce que vous avez de plus précieux ! Il arrivera au cours de votre journée que vous puissiez choisir d’accorder ou non votre temps à quelqu’un qui en a besoin. Quand ce moment se présentera, choisissez d’accorder ce temps consciemment, avec tout votre cœur !

Un défi qui prend du temps : traquez votre temps ! Vous pouvez utiliser des catégories qui reprennent vos responsabilités (Travail, Famille, Loisirs, Maison, Église, Social …) et lister cinq tâches principales qui occupent vos semaines et qui correspondent à ces domaines.

Évaluez attentivement chacune de ces tâches et choisissez-en au moins deux qui sont les plus importantes à vos yeux, et au moins deux autres que vous laisserez de côté cette semaine pour vous consacrer aux premières. N’oubliez pas : donner de son temps, c’est donner de son bien le plus précieux. Dans qui ou dans quoi voulez-vous investir ?

Un défi pour la semaine : fixez vos priorités pour chaque jour de cette nouvelle semaine. Chaque matin, donnez-vous un, deux ou trois objectifs que vous aimeriez atteindre. Ça demandera certainement de les écrire ou de les enregistrer quelques parts. Moi, j’utilise un carnet et je reporte chaque jour les tâches que je veux vraiment effectuer.

Je vous en parlais par ici, en fixant vos objectifs et la quantité de temps que vous voulez accorder à vos tâches au jour le jour, non seulement vous serez plus efficaces pour atteindre vos objectifs, mais vous serez également motivés à traquer la façon dont vous utilisez votre temps, et à persévérer dans la poursuite de vos priorités.

Trois défis, trois niveaux différents d’implication, et 6 jours pour en mettre au moins un en place ! En route, et n’hésitez pas à nous partager vos petites difficultés et vos grandes victoires !

« La meilleure chose que nous puissions faire dans la vie, c’est d’aimer. La meilleure façon de montrer notre amour, c’est de donner du temps aux autres. Le meilleur moment pour cela, c’est maintenant ». R. Warren

 

 

 

 

 

Photo by Agê Barros on Unsplash

ÉPISODES CONTENTÉS, S02E02 : LES DESSOUS DE LA CHAUSSURE

En moyenne, chaque Français achète plus de 5 paires de chaussures par an… (mais qui sont ces Français ?!).

Si on ramène ça sur l’année 2010, ça donne une consommation de 243000 tonnes de chaussures, sur lesquelles 2400 seulement ont été recyclées. **

Je ne m’attarderai pas sur la différence de consommation Homme / Femme, là n’est pas la question …

 J’ai été visiter cette semaine une petite boutique, dans une petite ville, et rencontrer un Monsieur fort sympathique, qui répare les chaussures (et plein d’autres choses, d’ailleurs).

Pour lui, qui a commencé à travailler comme cordonnier à 16 ans, talons, semelles et cuir n’ont pas de secrets. Un talon trop creusé, une semelle trouée, un cuir à rapiécer ? Il est celui qui donne une seconde jeunesse à nos articles abimés.

Le problème ?

Les Français ne réparent plus. Ils jettent.

Comme dans beaucoup de domaines, l’arrivée du plastique a tout chamboulé : les consommateurs préfèrent désormais acheter plusieurs paires pour une poignée d’euros plutôt que d’investir dans une paire plus coûteuse qui pourra être réparée si besoin. Et je ne jette pas la pierre : nos budgets sont ce qu’ils sont, et les prix sont ce qu’ils sont aussi.

Et puis … nous nous sommes habitués aux cycles de la mode, n’est-ce pas ? Alors même si parfois nos paires de chaussures ne sont pas usées …

Un autre inconvénient, c’est que ces paires en plastique, même coûteuses, ne se réparent plus. Les fabricants font en sorte que nous rachetions (et au plus vite, s’il vous plaît).

Dans notre voyage vers le Contentement, nous avons appris à consommer différemment aussi en matière d’habillement. Et nous avons envie de vous partager qu’il subsiste encore une autre manière de faire, différente, de qualité, une manière qui fait vivre des humains plutôt que d’en tuer d’autres à la tâche … Vous partager ces beaux gestes qui réparent, qui complètent, qui lustrent, et faire vivre encore un peu ce métier qui finira certainement par s’éteindre.

Alors, loin de nous l’idée de vous remplir de remords, de vous inciter à n’acheter que des chaussures en peau d’animaux ou à dépenser des mille et des cents pour vêtir vos nobles pieds ! Le but ici est simplement de vous présenter la Cordonnerie Bertrand, le beau travail de son propriétaire, et de vous rappeler que vous avez toujours le choix !

(cette vidéo est disponible en HD)

La Cordonnerie BERTRAND se situe au 2, rue de Pfaffenhoffen, à HOCHFELDEN. Elle est ouverte les Lundi et Jeudi de 08h30 à 12h et de 14h à 19h, les Mardi, Mercredi et Vendredi de 8h à 12h et les 1er et 3ème Samedi du mois de 8 à 12h !

Et pour vos prochaines paires de chaussures, quelques adresses pour participer au recyclage (et faire du bien à votre-porte monnaie) :

** Ces informations viennent du Planétoscope.